LE 13 OCTOBRE, CANARIO EST SORTI DU COULOIR DE LA MORT , D'UNE PERRERIA EN ESPAGNE, IL DEVAIT ETRE EUTHANASIE....
ENFIN UNE BONNE NOUVELLE !!!!
IL EST ACTUELLEMNT EN F A
LE 13 OCTOBRE, CANARIO EST SORTI DU COULOIR DE LA MORT , D'UNE PERRERIA EN ESPAGNE, IL DEVAIT ETRE EUTHANASIE....
ENFIN UNE BONNE NOUVELLE !!!!
IL EST ACTUELLEMNT EN F A
publié le 08/10/2010 par Sudpresse
Un élevage sans autorisation de 42 chiens a été fermé jeudi à Wierde: les chiens ont été saisis. Pour Cathy, la propriétaire, c'est le drame.
Rédaction en ligne
Ils étaient 42 chiens et chiots dans la propriété de Cathy à Wierde à vivre à l'intérieur et à l'extérieur: 19 bichons et lhassas, femelles reproductrices, mâles et petits dans le jardin. quatre autres mamans et leurs portées dans la cave; deux vieilles chiennes de 16 et 19 ans dans le salon de toilettage; et en haut, dans la cuisine, les trois toutous de la maison.
Cathy Bonnaillie est toiletteuse pour chiens. Elle accueilli petit à petit de nouveaux animaux de compagnie.
Mais, le hic, c'est que cet élevage était illégal. Cathy ne possède aucune autorisation de la part du Service Public Bien-être animal, comme le veut la législation. Ses demandes ont été refusées, dit-elle.
Jeudi, vers 10h, elle nous appelle en urgence: la police est là pour saisir ses chiens. A notre arrivée, nous constatons qu'un fourgon de la police canine est sur son parking avec un inspecteur vétérinaire pour mener les perquisitions. Deux fourgons de la SAPAD (Société d'Aide et de Protection des animaux en Détresse) sont là en renfort.
Cet élevage n'a en fait jamais eu aucune autorisation pour exercer. Les deux policiers se tiennent debout, devant le chenil, Cathy hurle, on se bouscule, on se marche dessus, ”Vous ne pouvez pas faire ça ! ” Son compagnon la maîtrise tant bien que mal et la couche au sol.
Scène pénible: les chiens sont maintenant évacués vers les cages dans les deux camionnettes de la SAPAD. Chacun embarque un ou deux chiens à la fois, dans les bras, ils ne sont pas très grands, des bichons et des lhassas. Il y a des très petits chiots, d'à peine quelques semaines qu'on emporte par brassée. Cathy ne regarde plus, elle leur tourne le dos, elle est résignée. La SAPAD prend soin de ne pas séparer les chiots de leur mère, Cathy est retournée dans son salon.
PUBLIÉ LE 09/10/2010 09:39 - MODIFIÉ LE 09/10/2010 À 13:56 | HENRI BARBE, PRÉSIDENT DE L'ASSOCIATION NATIONALE CONTRE LE TRAFIC DES ANIMAUX DE COMPAGNIE.
« Mon caniche s'est évaporé sous mon nez », s'inquiète Gisèle Jacquier, 61 ans, de Manhac dans l'Aveyron. Malheureusement, elle n'est pas la seule à s'être fait voler son animal de compagnie. Depuis plusieurs mois, les « rapts » de chiens et de chats se multiplient dans le Grand Sud comme dans le reste de la France. Mais qui en a après ces animaux ? Certains les kidnappent pour obtenir une rançon facile auprès de maîtres très affectés par la disparition de leur fidèle compagnon ; d'autres les monnaient à l'étranger auprès des « négociants » peu regardants. D'autres encore, travaillent pour des ateliers de fourreurs souvent situés en Europe de l'Est.
À Pessac, près de Bordeaux, le cocker primé de Laurence a été dérobé lors d'un cambriolage. « Les instructions étaient de déposer de l'argent près d'un arbre devant chez moi. » Elle versera deux fois 2 500 € mais ne reverra jamais Diego. À Toulouse et dans sa banlieue, plusieurs propriétaires se sont vus demander des sommes entre 400 € et 500 € pour récupérer leur animal.
Mais il est parfois plus inquiétant de ne pas avoir de nouvelles. Le 2 juin, « Chounoir », le compagnon à quatre pattes de Gisèle Jacquier a disparu. « J'ai été victime d'un repérage, estime-t-elle. Tout à coup, mon chien a poussé violemment le portail. Il a couru très vite vers la place du village puis j'ai entendu des véhicules démarrer. On avait dû l'attirer avec quelque chose. » Le 7 juin, à Mirepoix-sur-Tarn (Haute-Garonne), Mathias Jambu était à son tour victime. « On a emporté Gigi, mon bouledogue anglais. Elle était dans le jardin de mon père. On la surveillait par la fenêtre mais il a suffi de 10 minutes d'inattention. Quand on s'en est aperçus, on s'est souvenus qu'une personne était venue sonner. Elle disait qu'elle cherchait du travail. Après coup, on a compris que c'était une équipe de voleurs. »
Le plus souvent, les propriétaires n'ont jamais de nouvelles de leurs chiens ou chats. Norbert Rouquette a eu plus de chance. « On m'a pris mon chien de chasse alors que j'étais absent. Quand je suis revenu, il n'était plus attaché au bout de sa chaîne. ça s'est passé le 14 septembre dans le Gard. Dix jours plus tard, quelqu'un m'a appelé pour me dire qu'il l'avait retrouvé dans une forêt de Colomiers. Il était sévèrement touché avec plusieurs fractures et la queue sectionnée. » À Tarbes, un collectif de propriétaires de félins s'est récemment monté. Il a déposé une cinquantaine de plaintes en quelques mois. « Au début, des tigrés disparaissaient puis ça a changé de couleur, rapporte Noelia Llacer. On ne sait pas si c'est pour des fourreurs ou des laboratoires. Mais, pour nous, il y a un trafic »
Les propriétaires sont aux abois. Malheureusement, faute de preuves et de moyens, peu d'enquêtes aboutissent.
Depuis plusieurs mois, les vols de chiens et de chats sont en recrudescence dans la région. Les réseaux de trafiquants sont très actifs. Certains propriétaires sont rançonnés, d'autres ne revoient jamais leur animal.
Chiens > Volés. Selon certaines associations, chaque année, environ 70 000 chiens seraient volés en France. Le trafic représente des millions d'euros.
« On m'a demandé une rançon. Les instructions étaient de déposer 2 500 € près d'un arbre devant chez moi. »
Laurence, propriétaire d'un chien volé
Du journal L'AVENIR DE L'ARTOIS-BETHUNE-
MAZINGARBE
Chiens errants dans la ville :
Le 12 septembre, on pouvait croiser deux rotweillers au centre ville de Mazingarbe. Un chien de catégorie 2,
solide, au corps bien musclé, de taille supérieur à la moyenne.
C'est un chien ni pesant ni léger mais bien proportionné. Il évoque la force, la souplesse et l'endurance. Bref, pas de quoi rassurer les passants.
Une seule solution : l'euthanasie
Sur place, les services de police de Lens essaient d'attraper les deux molosses. En vain. Errants et agressifs, les deux chiens ne se laissent pas faire. C'est alors au tour du service
intercommunal de fourrière d'intervenir. Mais la capture s'avère impossible. Les chiens sont trop agressifs et trop dangereux. Seule solution : l'euthanasie. C'est alors un vétérinaire qui
procède à l'injection de seringue.
Rapidement interpellé, le propriétaire des deux rottweilers, un Grenaysien de 25 ans, reconnaît être le propriétaire des deux chiens. Ils étaient bien en règle puisqu'ils ont été déclarés en
mairie et identifié. Le seul souci est qu'ils se sont échappés du domicile, et ils ont erré en ville sans la moindre surveillance. Le propriétaire devra venir s'expliquer prochainement devant le
tribunal de police. A.J
Dans la nuit du 20 Août, des inconnus ont pénétré un pré isolé électrifié,
difficile à atteindre, entre deux bâtiments agricoles du voisin, situé derrière un château.
Ces inconnus sauvages ont martyrisé, torturé et battu à mort une jolie ponette importée si douce et si élégante suitée d’un poulain de un mois.
Le rapport du vétérinaire a constaté au moins vingt trous sur la tête, faient par un objet pointu comme une fourche à foin, puis la tête de la jument a été fortement frappée avec un objet
rectangulaire (morceau de bois ?) avec pour conséquences des contusions crâniennes, des dents et la mâchoire cassées, et une mort dû, après tous ces actes bestiaux, éventuellement à une cassure
des vertèbres.
Qui a pu faire un acte d’une telle barbarie à nature si satanique ? On se pose beaucoup de questions.
Cette jolie jument a monté l’après-midi de sa mort un chemin communal toujours bloqué par le voisin qui donne accès aux prés du château.
Il y a peu, une lettre fut reçue par le maire de Colombier, au sujet d’une parcelle à bâtir du château qui longe ce même chemin.
Y a-t-il un lien ? Ou est-ce seulement un meurtre vicieux sans motif par des inconnus lointains dans un pré inaccessible et à l’abri des regards?
Le silence d’un hameau est témoin de cette bestialité
Pour lire la suite...cliquer sur le lien Ligue Francaise protection cheval ..
Destiny et son poulain
Destiny
Un berger allemand assassiné d'une façon
cruelle à Sanlucar Barrameda. Selon l'histoire de la fille qui l'a trouvé et qui avait déjà reçu d'autres chiens abandonnés ..l'a vu quand elle allait faire des achats et elle s'est arrêté pour
le caresser, ce à quoi il a répondu en lui donnant des coups de langue; au bout d'une heure elle est retourné avec sa voiture avec l'intention de le prendre ... dans cet instant il avait déjà
pensé y compris un nom pour lui elle l' appellerait : Jack.
Mais Jack pourra jamais aller avec cette femme qui quelques minutes avant l'avait traité avec affection et dont la décision était de lui donner une maison parce qu'elle l'a trouvé mort. Dans cet
intervalle de temps quelqu'un avait mis un terme à sa vie par de multiples coups, ils lui avaient mis une chaîne autour du cou attaché les pattes arrières et introduit du bois dans la
gueule...
quelques minutes on suffit...
Il y a beaucoup de massacres d'animaux en espagne..
Ce pauvre chien est mort ce matin (7 octobre) dans une perreira en espagne, ils l'ont laisser mourrir sans soins veterinaire....
Il y en as marre des perreiras espagnol...ce sont des vrais camps de concentration pour animaux...
vous pouvez voir sur la photo que ce loulou n'avait plus la force de vivre a cause de la barbarie humaine.
il y a plusieurs mois un sp a été sauvagement maltraité en Belgique et est mort dans d'horribles souffrances
Au mois de janvier sur le site la pétition.be, une pétition avait eu des milliers de signatures et malgré cela justice n'a pas été rendue pour Rocco .
Voici l'histoire de Rocco au mois de janvier :
Son maître le battait à coups de pelle MONS Un homme de 71 ans , rue de la Brisée à Saint-Denis (Mon...s) est soupçonné d’avoir laissé mourir son chien en lui sectionnant les pattes arrière à coups de pelle et en s’abstenant pendant plusieurs jours de lui apporter des soins, l’enfermant au contraire dans une remise sombre sur des sacs de jute où l’animal blessé et abandonné au froid glacial des derniers jours n’était plus nourri.
C’est un délégué de l’ASBL Animaux en Péril qui a découvert le chien agonisant lundi, dans un tel état de faiblesse qu’il n’avait même plus la force de gémir. Animaux en Péril a pu constater la façon peu délicate du propriétaire de traiter son chien en l’empoignant par la peau du cou. L’animal, un shar-peï, s’appelait Rocco . Son maître, Maurice Gillet, a bien précisé au délégué d’Animaux en Péril que “non, il n’allait certainement pas dépenser un franc pour soigner un clebs’". Les faits sont dénoncés au parquet de Mons; l’ASBL se constituera partie civile. La police de Havré a rédigé un P-V à charge pour cruauté animale. Contactée par nos soins, l’ASBL précise que le maître risque jusquà 6 mois et 5.000 € d’amende. Deux vétérinaires ont examiné la dépouille. La Dr Murielle Esnouf affirme dans son rapport que le chien est mort dans "des souffrances épouvantables […]
Les photos qui accompagnent seront plus explicites car il n’y a pas de mots pour exprimer l’horreur qu’a subie l’animal”. Son confrère Johan Stegen, de Leeuw-Saint-Pierre, fait état de “tortures graves et violentes” . Quand Animaux en Péril a déposé Rocco chez elle, Murielle Esnouf s’en est occupée en priorité avant les autres. Rien n’y a fait. Euthanasier n’a pas été nécessaire : Rocco est mort sous ses yeux. Son maître avait dit à Animaux en Péril : “Et si vous le sauvez, surtout gardez-le. Moi je n’en veux plus.” Un témoin l’avait vu il y a 10 jours porter des coups de pelle au chien. Les vétérinaires confirment que les deux pattes arrière ont été blessées “par un objet coupant lourd”. Le pied gauche, auquel “il manquait de la peau” , ne tenait plus à la patte que par les tendons. L’arrière droit montre “aux 4 doigts des fractures ouvertes également causées par un objet coupant lourd”. Une patte non soignée s’est nécrosée, gangrenée.
Selon les vétérinaires toujours,Rocco,un male shar-pei de 3 ans et demi, était outre "mal nourri depuis trés longtemps" et "a subi de nombreuses violences au cours des dernieres semaines avant sa mort". Décrivant l'état général du shar-pei, les vétérinaires se disent choqués par "son extreme maigreur". Gilbert Dupont