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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 14:59

Apprenant que l'Espagne comptait promulguer une loi afin de protéger la corrida, elle a pris la plume et s'est fendu d'un courrier auprès des sénateurs espagnols.

«J'ai été choquée d'apprendre par PETA, que le gouvernement pensait à une loi pour protéger les corridas», écrit-elle. Soulignant que «l'Argentine, l'Équateur et la Colombie - ainsi que plusieurs villes en Espagne - ont interdit les corridas, et d'autres pays prennent cette direction. L'Espagne est un pays moderne avec de nombreux trésors - l'art, l'architecture et la musique entre autres - et c'est pour ça que tant de gens viennent visiter ce pays. Mais en 2013, dans une société civilisée, s'en prendre ainsi aux animaux est un acte pervers... Torturer un animal pour divertir, ça appartient au Moyen Age, pas au 21ème siècle. S'il vous plaît ayez un peu de compassion et interdisez ce passe-temps cruel en refusant de protéger la corrida.»


Pour l'heure, le Congrès espagnol a approuvé le projet de loi reconnaissant la tauromachie comme Patrimoine Historique Culturel du pays, et c'est au tour des sénateurs de donner ou non leur feu vert.

Source (01.11.2013) L independant

PAMELA ANDERSON ECRIT AUX SENATEURS ESPAGNOLS...
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27 octobre 2013 7 27 /10 /octobre /2013 10:42

PETITION :

Bayonne est la ville taurine la plus ancienne de France, mais la corrida n’est pas une tradition française ! Cet art barbare à été introduit dans notre pays par l’impératrice Eugénie de Montijo, épouse de Napoléon III, malgré la loi Grammont de 1850 qui condamnait les sévices faits aux animaux !

Pendant un siècle ce spectacle sanguinaire s’est développé illégalement en France jusqu’à une modification de la loi Grammont en 1951 : « Les dispositions du présent article ne sont pas applicables aux courses de taureaux lorsqu’une tradition ininterrompue peut être invoquée. »

Cet alinéa a été complété en 1959 : la tradition doit être « locale et ininterrompue ». Il y a eu ensuite une évolution de la signification du mot « locale », en effet, ce terme est élargi à un ensemble démographique partageant une histoire, un mode de vie ; ce qui signifie qu’une commune faisant partie de cet ensemble démographique peut prétendre à une « tradition » même si sur son territoire il n’y a jamais eu aucun spectacle de corrida !

Qu’on arrête donc de parler de tradition alors que ce n’est pas le cas !

Qu’on arrête de cautionner le meurtre et la torture d’un animal sensible et innocent !

Les contribuables en ont assez que l’argent public finance la cruauté !

66% des français (Sondage IFOP Août 2010) se prononce pour l’interdiction des corridas en France, il faut que cette majorité se fasse entendre, et quel beau message d’espoir si la municipalité de Bayonne, grande ville taurine, prenait conscience qu’une société civilisée se doit de respecter les animaux et de ne pas banaliser et encourager la violence !

SIGNONS LA PETITION : Avaaz

POUR QUE BAYONNE DEVIENNE « VILLE ANTI-CORRIDA »
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1 octobre 2013 2 01 /10 /octobre /2013 09:04

Cette vidéo, postée voici deux semaines par la Fédération des Luttes pour l’Abolition des Corridas (FLAC), une association française anti-corrida, montre la condition de vie des veaux et taureaux dans les écoles taurines, destinées à des enfants de 8 à 20 ans afin de leur permettre de s’exercer dans la tauromachie. Ils sont même amenés à tuer ces animaux…

30 écoles taurines existent en Espagne dont 20, seulement en Andalousie, la région de la tauromachie. Même la France compte 8 de ces écoles particulières. Les enfants inscrits suivent des cours de l’enseignement général, vivent dans un internat et sont entraînés, entre les cours, à l’art de la corrida. Les enfants ont entre 8 et 20 ans dans plusieurs écoles espagnoles, mais une loi pourrait bientôt être mise en place pour interdire l’inscription d’élèves de moins de 14 ans dans ces écoles.

Lors de ces entraînements particuliers, les enfants sont mis face à des veaux. Ils exécutent les mêmes gestes que les toréadors et doivent, donc, tuer ces animaux dès qu’ils sont épuisés et piqués par les broches des matadors.

« Une violence insoutenable », selon les associations anti-corridas qui souhaitent que ces écoles soient interdites en France, d’abord, en Espagne, ensuite.

L’association française FLAC dénonce même les subsides octroyés à ces écoles, confirmant le soutien des politiques envers cette pratique, ou « cette tradition » comme le nomme le ministre français de l’Intérieur Manuel Valls.

Selon la FLAC, ces subsides montrent que les citoyens français financent, « sans le savoir », la tauromachie.


Ces images dans cette école de tauromachie à Séville font en tout cas froid dans le dos : même sans public, simplement pour l’entraînement, cet enfant de 8 ans n’hésite pas à tuer le veau qui lui faisait face…

Source (27.09.2013) Lameuse.be

LA VIOLENCE INSOUTENABLE DES ELEVES DES ECOLES TAURINES : ILS SONT POUSSES A TUER DES VEAUX
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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 10:54

AMELIE-LES-BAINS :

Pas d'"embolada" ce samedi finalement à Amélie. L'association les Festibanyes a décidé ce jeudi matin, après mûre réflexion, d'annuler purement et simplement le fameux "toro de fuego" qui a enflammé la toile mercredi après-midi.

"Nous avons pris la décision ce matin, sur demande de la sous-préfecture, et après en avoir discuté entre nous, et avec la mairie, d'annuler la dernière partie du spectacle", annonce ce jeudi matin François Garrigue, président des Festibanyes. L'association, créée pour faire revivre la tradition des toros catalans, célèbre ce samedi 7 septembre, son 10e anniversaire à Amélie-les-Bains. Le président, qui souhaite avant tout "ne pas attiser les haines", a voulu "satisfaire la demande des autorités" dans un souci d'appaisement. "On ne veut pas faire de scandale", insiste-t-il, tout en se disant "victime de calomnie sur les réseaux sociaux de la part de groupes de pression anti-taurin". (1)

Pour autant, face aux virulentes critiques qui ont fusé sur Facebook, François Garrigue souhaite expliquer la démarche et tordre le cou à certains excès de langage : "Il n'a jamais été prévu d'organiser un lâcher de toro en feu. La photo exhibée sur la page Facebook des opposants à l'événement ne correspond pas à la réalité.", se défend-il. "Le toro n'a pas les poils brûlés, il n'y a pas d'atteinte à l'animal, le feu est placé sur le prolongement des cornes, aussi éloigné de la tête du toro que pour quelqu'un qui tient un flambeau", précise le responsable des festivités.


CRI DE VICTOIRE

Néanmoins, face à la bronca, mairie, sous-préfecture et organisateurs ont préféré faire marche arrière afin de calmer les esprits échauffés.

La décision a été aussitôt saluée par un cri de victoire du côté des anti-taurins.Marie Ricard, membre du bureau de la FLAC 66, en charge de l'internet, est à l'origine de la mise en ligne, mercredi après-midi, de la page événement de Facebook consacrée à cette croisade. "Nous sommes pleinement satisfaits, on leur souhaite des fêtes joyeuses sans torture animale", réagit-elle ce jeudi matin, après une longue nuit de discussion avec le groupe de militants.Car une nouvelle offensive était en réflexion : "Les associations envisageaient de déposer une plainte en référé pour faire interdire l'événement", confie Magali Noyer, avocate et militante. "Un article du code pénal punit tout sévice grave sur animaux, sauf pour les combats de coqs et les courses de toros, dont les corridas. Mais il y a un point juridique à clarifier : est-ce que chaque tradition taurine espagnole peut être importée en France sous couvert de cette exception ?", interroge-t-elle.

"Les termes de la loi sont suffisamment imprécis pour permettre différentes interprétations, mais ils doivent l'être de manière stricte", argument la juriste. Celle-ci salue également la position des autorités : "La sous-préfecture et la mairie ont été relativement réactifs". "Les choses doivent évoluer dans ce sens", conclue Marie Ricard, de la FLAC, qui promet de rester en alerte. "Les Catalans du Sud sont en train d'interdire ces pratiques chez eux, et du coup, ils essaient de les importer au Nord", explique-t-elle.

Preuve que les associations anti-taurines ne baissent pas la garde, elles seront à Perpignan ce samedi 7 septembre, pour une "petite manifestation pacifiste", à l'occasion de Visa pour l'Image. Ils profiteront de l'affluence de médias pour offrir un nouveau coup de pub à leur combat. Rdv en fin d'après-midi, au pied du Castillet et devant la cathédrale Saint-Jean.


(1) La partie des festivités annulée ne devait durer que 10 minutes, tout le reste du programme est maintenu sans modification.

Source (05.09.2013) Lindependant

Les autres festivités taurines programmées sont maintenues ce samedi à Amélie. (Photo/Archives)

Les autres festivités taurines programmées sont maintenues ce samedi à Amélie. (Photo/Archives)

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25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 07:11

RION-DES-LANDES (Landes) :

8 militants anti-corrida auraient été blessés, dont un gravement, par les gendarmes qui les ont évacués d'une arène lors d'une novillada.


Huit militants anti-corrida ont été blessés, dont un gravement, samedi lors d'une évacuation par les gendarmes, selon ces militants, alors qu'une centaine d'entre eux avaient envahi les arènes de Rion-des-Landes (Landes) où se tenait une novillada.


Lors de cette action organisée conjointement par Animaux en péril, le CRAC Europe et la Fondation Brigitte Bardot, les militants ont acheté des billets pour prendre place dans les tribunes. Avant le début de la novillada - une corrida avec mise à mort opposant de jeunes taureaux à de jeunes toreros - ils sont conjointement descendus dans l'arène pour former une chaîne humaine tandis que d'autres allumaient des fumigènes.


Les gendarmes sont alors intervenus pour les déloger des arènes et "toutes les blessures sont dues aux membres des forces de l'ordre, il n'y a eu aucun contact avec les aficionados", a assuré Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, qui s'est dit "éberlué par cette violence".


"Le colonel-chef de la gendarmerie veut savoir qui est à l'origine des violences, sans doute des responsables des arènes sont intervenus de manière violente", a pour sa part indiqué Jean-Pierre Garrigues, vice-président du CRAC Europe (Comité Radicalement AntiCorrida). Les pompiers des Landes ont dénombré huit blessés, dont un plus gravement pour un traumatisme crânien qui a été évacué par hélicoptère.


Après avoir été évacués des arènes, les manifestants se sont ensuite dirigés vers le camion qui abritait les jeunes taureaux et c'est à ce moment, selon Christophe Marie, que le manifestant gravement blessé "a été projeté par les gendarmes". La novillada s'est ensuite terminée et les militants anti-corridas, restés à l'extérieur des arènes ont effectué, selon Jean-Pierre Garrigues, "un sit-in pour empêcher les aficionados de sortir". "La corrida devient un trouble à l'ordre public. Nous ne lâcherons rien, les militants seront partout et motivés pour faire cesser ces massacres", a-t-il dit.

Source : (24.08.2013) RTL

Interruption d'une corrida et violences policières dans les Landes

Interruption d'une corrida et violences policières dans les Landes

8 MILITANTS ANTI-CORRIDA BLESSES
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24 août 2013 6 24 /08 /août /2013 17:42

MIMIZAN : (24.08.2013)

Plus d'une soixantaine de militants anti-corridas sont actuellement réunis aux abords des arènes pour manifester leur opposition à la tenue de la corrida de ce samedi soir.

Sifflets, mégaphones, multiples pancartes, T-shirts, les militants anti-corridas ne sont pas venus les mains vides pour manifester bruyamment leur mécontentement. "La corrida n'est pas notre culture. Corrida abolition", "Corrida, la honte", "Ici on torture à mort" s'affichent sur les T-shirts et les panneaux des anti-corridas. "Basta corrida" hurlent les militants, répartis le long de la route, de la rue piétonne au rond-point de l'église.

Depuis 10 heures ce matin, plus d'une soixantaine d'entre eux se sont réunis face à l'église de Mimizan-Plage. "On va rester jusqu'à la fin de la démonstration de l'école taurine puis revenir à 15 h 30 jusqu'à la fin de la corrida", déclare Christophe Leprêtre, président du réseau Animavie, fédération d'associations de protection animale. Les militants regrettent de ne pas pouvoir approcher les arènes empêchés qu'ils en sont par la vingtaine de gendarmes présents.

"Hier au téléphone, le chef du cabinet du préfet nous a autorisés à avancer jusqu'à la moitié du parking. Aujourd'hui les gendarmes nous en empêchent. C'est une atteinte à notre droit de libre expression", clame le président d'Animavie.

Christophe Leprêtre et Sylvie, une militante, avaient entamé une grève de la faim le 1er août pour demander au maire de Mimizan, Christian Plantier, l'annulation de la corrida.

Une corrida que les anti estiment illégale dans la mesure où Mimizan ne pourrait pas se targuer selon eux de tradition taurine ininterrompue. La préfecture des Landes, comme les organisateurs, considèrent à l'inverse que cette course est parfaitement légale.

Source : (24.08.2013) Sudouest

C'est la troisième année que les anti-corridas ciblent Mimizan (Photo Anaïs Brosseau)

C'est la troisième année que les anti-corridas ciblent Mimizan (Photo Anaïs Brosseau)

Mise à jour à 18h :

ANTI-CORRIDAS :LE TON MONTE A MIMIZAN

Plus de 150 militants anti-corridas se sont réunis aux abords des arènes. Un large dispositif de sécurité a été déployé. Plusieurs échauffourées sont à déplorer. La corrida a débuté avec des gradins pleins.

Leur nombre a plus que doublé. Une soixantaine ce samedi matin, plus de 150 dans l'après-midi. Des militants anti-corridas venus de toute la France et de Belgique sont arrivés en nombre à Mimizan pour appeler à l'abolition de la corrida. Sifflets, mégaphones, slogans, tee-shirts et pancartes, les manifestants se sont montrés bien plus virulents que dans la matinée.

A chaque passage d'aficionado, une bronca s'élevait. "Assassins", "Salopards", "Quelle honte !", "N'avez-vous rien à faire d'autre que d'aller voir un spectacle barbare ?", hurlaient les militants adultes comme les jeunes enfants. Evidemment, des insultes ont fusé en retour, des coups ont été échangés.

Les gendarmes, près d'une centaine, ont dû intervenir à plusieurs reprises pour ramener le calme.

Au moment du paseo, vers 17 heures, les militants ont organisé un sit-in sur la route menant aux arènes. Les services de sécurité craignaient une action pendant la corrida. Une corrida qui a fait le plein en termes de public et qui, faut-il le rappeler, n'a rien d'illégale.

Source : Sudouest

La tension est montée d'un cran dans l'après-midi (Anaïs Brosseau)

La tension est montée d'un cran dans l'après-midi (Anaïs Brosseau)

Mise à jour à 20h :

RION-DES-LANDES : LES ANTI-CORRIDAS PERTURBENT LA NOVILLADA

Un groupe d'une cinquantaine d'anti-corridas s'est rendu de Mimizan à Rion-des-Landes où était programmée ce samedi soir une novillada. Ils ont sauté en piste. Les gendarmes ont dû les évacuer.

L'opération semble planifiée. Une cinquantaine d'anti-corridas présents à Mimizan pour manifester contre la corrida de ce samedi après-midi s'est rendue à Rion-des-Landes où une novillada était programmée à partir de 19 heures.


Ces militants d'Animavie, du Crac ou de la Fondation Brigitte-Bardot ont pris des billets (10 euros) et ont d'abord pris place dans les gradins. Vers 18h45, ils ont sauté en piste. Couverts de faux sang et criant des slogans comme "corrida basta", ils ont également déployé une banderole et fait usage de fumigènes.

Les gendarmes à peu près aussi nombreux sont intervenus pour les faire évacuer. Les militants ne leur ont évidemment pas facilité la tâche et l'évacuation a pris du temps.

Au fur et à mesure qu'ils étaient évacués, les militants sont remontés dans les gradins brandissant leur billet pour montrer qu'ils en avaient le droit. Certains aficionados se sont alors agacés et des coups et insultes ont été échangés.

Les gendarmes ont de nouveau dû intervenir pour les faire sortir cette fois-ci définitivement des arènes. Rendus dehors, une trentaine d'entre eux ont grimpé sur le camion ayant servi à transporter les novillos. De nouveau les gendarmes sont intervenus pour les en faire descendre.

Des gaz lacrymogènes ont été utilisés par les forces de l'ordre et deux militants sont restés au sol et ont dû être pris en charge par les pompiers.

Le groupe d'anti s'est assis devant les arènes où il continuait de crier des slogan anti-corridas. Une fois le calme revenu, la novillada a pu commencer, avec une heure de retard. Mais les anti-corridas ont alors balancé des fumigènes, depuis l'extérieur des arènes par dessus les tribunes. Des peones ont renvoyé les fusées vers l'extérieur...

Source : Sudouest

LES ANTI-CORRIDAS MANIFESTENT
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  • : Ce blog pour montrer combien l'etre "humain" peut etre cruel...et que dans le monde entier la souffrance animale existe vraiment...Il est battu, abandonné , torturé, meme violé par les hommes, et fini souvent par la mort....
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