ETATS-UNIS :
Floyd et Susan Martin ont plaidé coupable à la cour fédérale pour avoir acheter illégalement des chiens avant de les vendre à des installations de recherche.
Les chiens achetés illégalement provenaient des refuges, de la rue, même «libre à un bon accueil" annonces pour animaux de compagnie. Qu'est-ce?
Vous avez sans doute jamais beaucoup réfléchi à la façon dont les chercheurs en médecine obtenir des chiens pour leurs laboratoires. La vérité pourrait être pire que vous avez imaginé.
Le jeudi, selon un article par Philly.com , Floyd et Susan Martin ont plaidé coupable en cour fédérale pour avoir illégalement acheter des chiens et de les vendre à des installations de recherche. Combien de chiens? Des centaines d'entre eux. Pour quelles institutions? Grands, tels que Johns Hopkins et l'Université de Columbia.
Et ils ont reçu des centaines de milliers de dollars pour les chiens, entre 2005 et 2010. L'affaire jette la lumière sur le monde sordide de chien-traitant pour la recherche biomédicale.
Selon le Philly.com, les Martins, qui sont des «sources» aléatoires marchands de chiens », ont acheté leurs animaux par centaines d'individus louches appelés« botteleuses, «qui recueillent les chiens de ventes aux enchères, des abris, de la rue, le vol, et ' gratuitement aux annonces pour animaux de compagnie à domicile bonne ».
Les autorités disent que deux abatteuses acheté des centaines de chiens provenant de différentes sources dans 10 États, a ensuite revendus à l'Martins pour 50 $ à 75 $ chacun. Les Martins a ensuite vendu les chiens aux laboratoires pour des centaines de dollars de profits par chien.
"Nous parlons d'un système miné par les exactions de l'acquisition des animaux pour la recherche», a déclaré Nancy Blaney, conseiller principal en politique fédérale pour l'Animal Welfare Institute, un groupe de défense nationale. "" Source aléatoire 'est ce que ça sonne comme il est. Ils peuvent obtenir des animaux par des personnes qui répondent aux «libre à la bonne maison" annonces ou des animaux volés. Nous le savons parce qu'elles ont été tracées par micropuce. "
Ce n'est pas ce que les gens avaient à l'esprit de la Loi sur la protection des animaux de 1966, qui visait à établir des normes humanitaires pour les animaux dans les laboratoires et le contrôle des commerçants qui ont vendu à leur disposition.
Les Martin sont de classe B ou "source" aléatoires concessionnaires chien, une désignation qui est sanctionné le gouvernement fédéral, mais controversée. Ces revendeurs peuvent acheter des chiens de abatteuses sans licence, mais pas plus de 24 chiens par abatteuse par an. Le Martins a connu des difficultés en achetant des centaines de chiens avec seulement deux abatteuses.
La lueur d'espoir dans tout cela, c'est que seulement 3 pour cent des chiens utilisés en recherche biomédicale aux États-Unis proviennent de sources aléatoires concessionnaires, et ce nombre est en baisse en raison de la controverse sur l'utilisation d'anciens animaux en tant que sujets de laboratoire.
La plupart des laboratoires acheter des installations dont les chiens sont élevés pour la recherche.
Quant à Floyd Martins, a plaidé coupable à une accusation de fraude postale, pour lequel il purgera un an de prison, et Susan a plaidé coupable à une accusation de complot, pour lequel elle sera placée sur de probation.
Via Philly.com
Source : (le 4.03.2013) dogster
Chien dans un refuge par Shutterstock.
Chien seul dans sa cage par Shutterstock.
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